Résultats d'une étude incluant plus de 11.000 cas : les risques de TVP et d'EP sont doublés dans les 2 semaines suivant une infection urinaire. Ces risques diminuent progressivement au cours des mois suivants, jusqu'à retrouver leur niveau initial au terme d'un an. Le risque de TVP est également augmenté après les infections respiratoires. Cette augmentation post-infectieuse du risque de maladie thromboembolique veineuse s'ajoute à celle, déjà connue, du risque d'événement cardiovasculaire artériel.