29 Janvier 2019
Si les choses sont bien établies en prévention secondaire, la question est difficile à trancher chez les sujets sans antécédent cardiovasculaire.
Une métaanalyse dans le « JAMA » a tenté d'apporter une résolution au casse-tête en colligeant l'ensemble des données publiées.
La controverse est vivace depuis des décennies. Le risque cardiovasculaire chez des sujets sans antécédent est-il suffisant pour contrebalancer un potentiel risque hémorragique? Après une utilisation large de l'aspirine à petites doses lancée par les États-Unis, trois grands essais fin 2018 ont conclu à des résultats négatifs dans la majorité des cas et au mieux à un intérêt ténu chez les sujets diabétiques...
Le quotidien du médecin